Premier League : Declan Rice, le revers le plus cher de Guardiola
La victoire du Real Madrid sur l’Athlétic Bilbao en finale de la Supercoupe d’Espagne a laissé beaucoup de polémiques. Puisque depuis la première main réclamée par Williams jusqu’au rouge de Militao, l’arbitre du match Soto Grado a eu une rencontre chargée de décisions difficiles, ce qui ne l’a pas empêché de s’en sortir.
La controverse ne s’est pas fait attendre dans la finale de la Supercoupe d’Espagne. Après 10 minutes, Athletic a appelé pour les premières mains. Le premier, parce qu’il y en avait d’autres à venir. En fait, ils ont marqué la finale, puisque des pénaltys ont été réclamés jusqu’à trois fois pour la raison susmentionnée. En fin de compte, deux ont été accordés.
En effet, ce n’était pas dans cette première action, dont Alaba était le principal protagoniste : « Il est au sol. Il plonge et l’entraîne vers le bas. Ce n’est pas un penalty », a analysé Iturralde González, ancien arbitre, sur Carrusel. Un point de vue approuvé par Pedro Martín, du COPE.
Mais les situations qui ont suivi ont suscité davantage de controverses parmi les spécialistes. Après la reprise, Soto Grado a accordé un penalty pour une faute de main de Yeray Álvarez. Iturralde était d’accord avec l’arbitre de la finale. Pedro Martín, en revanche, n’était pas aussi clair : « Nous sommes dans un type de football qui pénalise les accidents », a-t-il déclaré. La décision n’a pas non plus été vue d’un bon œil par Dani Ruiz-Bazán, ancien joueur de l’Athletic, qui, sur COPE, n’a pas hésité à affirmer : « qu’il est très facile de donner ce penalty à l’Athletic ».
Le dernier penalty réclamé, et accordé, l’a été pour une faute de main de Militao, qui a reçu un carton rouge pour cette action. « C’est un carton rouge parce que le ballon va vers le but », a d’ailleurs expliqué Iturralde à Carrusel. Mais il a été contredit par Pedro Martin de COPE qui a déclaré : « Je ne comprends pas le carton rouge, le gardien était derrière ». C’est dire qu’en dépit du sacre, le match a été jonché de polémiques, ce qui n’enlève quand même rien à la victoire du Real Madrid.