Premier League : Declan Rice, le revers le plus cher de Guardiola
Pedri a accordé une interview au magazine ICON dans lequel il est revenu sur son passage raté au Real Madrid et son arrivée au Camp Nou. Une occasion dont il a profité pour aborder plusieurs autres sujets comme le mondial en attente ainsi que ses idoles d’enfance.
Sur sa signature ratée au Real Madrid : « Je l’ai toujours dit, je suis un fan du Barça depuis que je suis enfant. Dans le Tegueste de mon enfance, presque tout le monde sympathisait avec Madrid, nous étions l’une des rares exceptions. Aurais-je joué pour le Real Madrid ? Je pense que je l’aurais fait. Mon ambition était de devenir footballeur professionnel et il aurait été très difficile de refuser une offre de l’un des plus grands joueurs de l’histoire de ce sport. Ce train est passé et deux ans plus tard, j’ai fini par signer dans l’équipe de mes rêves. Celle de ma famille et celle de ma première idole de football, Andrés Iniesta », a déclaré le Canarien.
Son échec contre le Bayern : « Et on peut en trouver partout. Ils vous l’envoient sur WhatsApp, vous le recevez sur Instagram, Twitter ou YouTube ».
Objectif : « On s’entraîne pour le faire et on le cherche, mais on ne l’apprend pas ».
Le jeu : « Il ne s’agit pas seulement de s’amuser, il faut aussi gagner des matchs. Parce que pour jouer au football à un haut niveau, il faut de l’engagement, de la chance et une bonne tête. Il faut comprendre le jeu, se donner à fond sur le terrain et courir plus que quiconque. »
Capacité à souffrir : « Bien sûr que tu peux. Même s’il n’est pas toujours possible de s’amuser pendant que vous jouez, c’est gagner que de s’amuser vraiment. »
Mauvais perdant : « Je suis un très mauvais perdant »
Jouer à FIFA : « Je ne joue jamais avec Pedri à FIFA parce que je ne le gère pas bien et je suis désespéré, si je dois perdre, je préfère jouer avec Messi ou Cristiano Ronaldo ».
Espagne : « Nous avons une équipe jeune et très compétitive. Lors du Championnat d’Europe de l’été dernier, nous avons fait un grand match en demi-finale contre l’Italie, et je suis sûr que si nous n’avions pas perdu aux tirs au but, nous aurions gagné la finale, car nous allions à fond. »
Argentine, France et Brésil : « Messi est toujours le meilleur. Il va jouer sa dernière Coupe du monde avec l’Argentine et il fera tout ce qu’il peut pour la gagner. La France et le Brésil sont deux équipes très expérimentées et peut-être un peu au-dessus du reste. »
De Jong à la Coupe du monde : « Il me dit toujours qu’il a vraiment hâte de jouer cette Coupe du monde, qu’ils ont une équipe très forte et qu’ils vont faire une grande impression. Je lui ai déjà dit de ne pas nous oublier. »
Le but d’Iniesta : « J’avais huit ans et je commençais tout juste à prêter une réelle attention au football professionnel. Je me souviens avoir regardé la finale avec ma famille dans un hôtel de Tenerife, où ma tante Montse nous avait invités. Je suis devenu fou avec le but, bien sûr, je me revois avec le drapeau espagnol peint sur les joues, courant, criant et embrassant les adultes. J’ai dû voir ce but 20 000 fois, et je ne pense pas exagérer. »
Penser à marquer ce but : « Je mentirais si je vous disais que je n’y avais pas pensé. Ce sont des choses qui vous viennent à l’esprit, bien sûr, mais il vaut mieux ne pas être obsédé. Nous devons jouer le premier match, puis le deuxième et continuer à aller aussi loin que possible. Si c’est la finale et que nous finissons par la gagner, je peux vous dire que je ne me soucierai pas de savoir qui marque le but de la victoire, parce que je deviendrai encore plus fou que je ne l’ai été avec le but d’Andrés. Je serai euphorique. »
