Premier League : Declan Rice, le revers le plus cher de Guardiola
Le FC Barcelone est très actif sur le marché des transferts. Et si certaines opérations se sont concrétisées facilement, il y en a bien d’autres qui peinent à prendre corps. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est dans le cadre de l’opération dégraissage que tout coince pour le moment.
Intronisé sur le banc de l’AS Roma, José Mourinho est plus ou moins actif sur le marché estival. Puisqu’il a déjà décidé de se passer des services de certains joueurs du club italien, ce qui fait qu’il va devoir se chercher des renforts et remplacer ces derniers. Dans ce cadre, le technicien portugais qui est bien connu à des profils de joueurs qu’il compte recruter, et ces derniers sont bien loin des profils que lui propose le FC Barcelone.
En effet, l’un des joueurs que Barcelone souhaite placer d’urgence sur le marché des transferts est Pjanic. Le milieu de terrain ne compte pas pour Ronald Koeman, raison pour laquelle il n’a pratiquement pas joué du tout en seconde partie de saison. Une situation qui oblige les dirigeants du FC Barcelone a lui trouver une nouvelle destination. Et l’un des endroits où il a un marché est à Calcio après les bonnes saisons qu’il a jouées pour la Juventus avant de venir à Barcelone. Et en Italie, même Turin a envisagé son retour, même si c’est à l’AS Rome qu’il a été proposé.
Une autre équipe qui a suivi le Bosniaque et qui veut renforcer la ligne médullaire. Cependant, l’entraîneur portugais l’a exclu en raison du coût élevé de l’opération. C’est le problème que Barcelone rencontre toujours en essayant de placer le footballeur. C’est pour cette raison que le club lui a offert la lettre de liberté il y a quelques jours, une lettre refusée par le joueur en question.
Pour rappel, Pjanic perçoit plus de 15 millions bruts par saison dans le club barcelonais. Et c’est un montant que les autres clubs ne sont pas prêts à payer pour un footballeur qui a à peine eu de l’importance la saison précédente. Il est vrai que la fiscalité en Italie est moins élevée qu’en Espagne et cela favorise un déplacement vers le pays transalpin, mais même ainsi, Rome n’est pas disposée à faire cette dépense.