Premier League : Declan Rice, le revers le plus cher de Guardiola
Eric Garcia était en conférence de presse avec Xavi Hernandez avant le match de la cinquième journée de la Ligue des Champions. Et le défenseur catalan n’est pas allé par 4 chemin avant de répondre avec véhémence à ses détracteurs qui ne cesse de le critiquer sur ses fautes qui pénalisent l’équipe.
Avez-vous le sentiment que cette saison est votre consolidation ? : « C’est pour ça qu’on travaille. Mon travail consiste à donner le meilleur de moi-même lorsque j’en ai l’occasion. Nous aimons tous nous sentir importants, mais tout commence par le travail. »
Croyez-vous au miracle d’atteindre les huitièmes de finale ? : « Nous savons que c’est compliqué parce que ça ne dépend pas de nous. Tant qu’il y a un peu d’espoir, il faut se battre jusqu’au bout et, surtout, aller chercher la victoire. Nous abordons ce match comme une finale et nous devons nous y préparer en pensant que l’Inter peut faire une erreur. D’ici là, nous devons être concentrés à cent pour cent pour aller gagner. Le Bayern est un grand adversaire, nous devons saisir nos chances. Nous savons aussi qu’ils veulent aussi le ballon et nous devons les surveiller. »
T’es-tu senti mis à l’écart après les matchs de l’Inter et de Madrid ? : « Évidemment, j’ai pris le penalty le jour de Madrid et le jour de l’Inter, j’aurais pu être plus précis. J’ai 21 ans, je peux encore m’améliorer. Les critiques irrespectueuses ne me dérangent pas ; j’accepte les critiques constructives. Je pense avoir un bon contrôle du ballon et une bonne anticipation. J’ai 21 ans, je peux encore m’améliorer. Je sais quand j’échoue et quand je fais des choses qui ne sont pas correctes. J’ai un environnement qui me le dit. Le reste, ils peuvent dire ce qu’ils veulent, ça ne me concerne pas. »
La Coupe du monde approche, avez-vous peur de vous blesser ? : « Ce que les autres joueurs pensent, je ne peux pas le dire. Personnellement, lorsque vous êtes dans cette situation, vous vous concentrez sur le jeu que vous avez maintenant. Cela ne me touche pas, même si je sais que la Coupe du monde est là. »
A domicile, vous n’avez toujours pas encaissé de buts en Liga. Et en Ligue des champions, vous avez… Comment l’expliquer ? : « J’aimerais qu’on puisse le faire. Dans ces deux derniers matchs, nous avons essayé de commencer fort, en pressant rapidement… »
Comment expliquer que vous êtes comme ça le cinquième jour de match ? : « Au final, le jour du Bayern à Munich, nous méritions beaucoup plus et nous sommes partis dans le désordre. À Milan, nous avons perdu à cause de circonstances différentes… Et ici, tu joues contre l’Inter et tu ne t’en sors pas. Et maintenant, bien sûr, c’est un gros handicap, parce que nous ne dépendons pas de nous-mêmes.
Comment vois-tu Ansu ? : « Très bien. Il joue à un très haut niveau depuis un ou deux mois. Je pense que nous commençons à voir l’Ansu d’avant la blessure. Il est très important pour nous et je suis sûr qu’il va nous aider. »
Quelle différence y a-t-il à jouer avec Koundé, Piqué, Christensen… ? : « Ce sont les meilleurs joueurs du monde. Ils vous rendent meilleur et je pense que nous nous complétons. Vous pouvez apprendre beaucoup de choses de chacun d’entre eux. »
Pensez-vous que lorsque vous faites une erreur, vous amplifiez cette erreur ? : « Je ne sais pas. Il faudrait demander aux gens que lorsqu’il y a une erreur, ils en ont marre. Je ne peux pas le contrôler. Je suis concentré sur le fait de jouer chaque match. Quelle que soit leur origine et leur provenance, ils nous diront pourquoi ils viennent et d’où ils viennent. »
Comment définiriez-vous Lewandowski en trois mots ? : « Je ne sais pas. Il a montré qu’il était un leader. Il aide beaucoup, il donne des conseils. Il est l’un des meilleurs attaquants du monde et l’avoir est un plaisir et bien meilleur que de l’avoir devant soi. »
