Premier League : Declan Rice, le revers le plus cher de Guardiola
Le technicien italien du Real Madrid était à l’inauguration de la saison 2021-22 de ‘’l’École Universitaire Real Madrid – Universidad Europea’’. Une occasion pour Carlo Ancelotti de se prononcer sur plusieurs sujets, comme la décima du club, son leadership et l’évolution de la discipline depuis des années.
En effet, au cours de l’événement, Carlo Ancelotti et Emilio Butragueño ont échangé sur divers sujets relatifs au club madrilène. Le premier abordé par l’Italien est le prestige du club : « Le Real Madrid est le club le plus prestigieux, avec le plus d’histoire et le plus de fans, c’est une grande responsabilité. Il a 13 titres de la Ligue des champions et personne d’autre ne possède cela. C’est dû à ses valeurs et à ses défis, qui l’ont amené à cette place dans l’histoire. J’ai eu la chance d’entraîner ce club il y a quelques années et j’essaie maintenant d’en profiter à nouveau », a d’abord déclaré Ancelotti.
Il est ensuite revenu sur la conquête de la Décima à Lisbonne : « La Décima était quelque chose que tout le monde au Real Madrid attendait. Nous avons failli la perdre de peu, mais de la première à la dernière minute, les joueurs voulaient ce titre. C’est la raison pour laquelle le Real Madrid a gagné la Décima. C’était l’atmosphère, pas seulement d’un groupe de joueurs. Tout le vestiaire était très motivé, pas seulement les joueurs. Aussi les médecins, les employés du club, entre autres. Il y avait une atmosphère particulière et tout le monde y croyait ».
Il va aussi se prononcer pour son amour du métier : « Un entraîneur doit transmettre une idée du football. J’ai la chance de faire quelque chose qui me passionne et cette passion m’habite tous les jours. La clé du succès est de faire quelque chose avec passion. Il faut travailler dur et avoir un peu de chance. Aussi, vous ne pouvez pas abandonner. Le leadership ne s’enseigne pas. C’est quelque chose d’intrinsèque », a-t-il déclaré.
Mais il ne finit pas sans évoquer l’évolution du football à travers les époques : « Le foot change, a changé et changera, il ne s’arrête jamais. Méthodologie, stratégie de match, physiothérapie, vitesse… Ce qui se faisait dans les années 80 n’a plus de sens pour les joueurs de maintenant. Tout comme ce qui se faisait il y a vingt ans. Les joueurs sont beaucoup plus professionnels qu’avant », a-t-il expliqué.
