Premier League : Declan Rice, le revers le plus cher de Guardiola
Xavi Hernandez s’est présenté en conférence de presse avant le match du club face la Juventus et au Cotton Bowl de Dallas, aux premières heures de la matinée du mercredi. Une occasion pour le technicien espagnol de se prononcer sur la situation de son club, mais sur plusieurs autres sujets attirant la convoitise.
Quand avez-vous pensé à Lewandowski et pourquoi ? : « Tous les jours. C’est un joueur de haut niveau à son poste et, de plus, il est humble, professionnel et s’adapte. Avec lui, l’équipe grandit beaucoup. »
Les leçons de l’année dernière : « C’est un avantage d’être arrivé en novembre. Nous avons eu de très bons matchs et puis nous avons baissé. Nous devons être plus cohérents ».
Le trident : « Le joueur doit comprendre qu’avec cinq changements, on ne fait pas un changement pour signaler. Il n’y a plus de onze de départ. Ce n’est pas comme il y a des années. Il y a un très large éventail de joueurs parmi lesquels choisir ».
Messi : « Il a un contrat et c’est impossible. Ça n’a aucun sens de parler de Messi. Le président a déjà dit qu’il espérait que son histoire avec le Barça ne s’achève pas ».
Xavi dans les négociations : « Je ne dirais pas que cela a fait une différence. Le travail de Mateu et Jordi… ils sont spectaculaires dans leur travail. Nous sommes une famille et nous ne faisons qu’un. Le Barça est aussi un aimant pour les joueurs ».
L’ombre de Guardiola ? : « Pas du tout. Je rêve que le Barça gagne. Cela m’est déjà arrivé en tant que joueur. Je rêve que le Barça gagne des titres, pas moi. Mon ego est rassasié pour trois vies. Ma carrière de footballeur était imbattable. Je ne m’attendais pas à avoir une telle carrière. Je ne veux pas surpasser Pep, Johan ou qui que ce soit. Je m’en suis nourri. Ils ne sont pas mes ennemis, je suis leur élève. Je veux ramener le Barça au sommet du monde. Je rêve que le Barça gagne, pas que Xavi gagne ».
Comment Xavi séduit-il les joueurs ? : « Je ne compare pas les projets. J’explique les choses clairement. Le modèle, la ville. Je suis comme ça. Si je ne me donne pas à 100%, je reste à la maison. J’essaie de faire en sorte qu’ils s’amusent et qu’ils se sentent importants. C’est clair que le Barça aide, c’est clair ».
La chaleur : « Nous allons essayer de nous adapter. Quant aux fans, nous sommes à Barcelone. Les gens sont passionnés par le Barça et c’est formidable. Quand vous voyez les gens s’enthousiasmer pour la grandeur du Barça… Le Barça est très grand. »
Les joueurs veulent venir au Barça : « Cela témoigne de la grandeur du club à un niveau global et historique. Il y a un projet passionnant. Nous parlons aussi clairement avec les joueurs. Tout cela s’additionne, mais c’est le Barça. Malgré une période moins bonne, c’est le Barça et les gens sont excités de jouer ici. Le mot d’ordre cette année est l’excitation. Le fait que Lewandowski veuille venir ici est un succès dans l’histoire du club. »
L’intensité : « Cela ne me surprend pas car nous travaillons très bien. Je vois beaucoup d’intensité dans l’entraînement. C’est non négociable ».
Équipe longue : « L’important maintenant, c’est la charge, pour avoir le sentiment, pas le résultat. Demain, nous aurons deux équipes, pratiquement. Nous ferons une rotation. Demain, il fera chaud. Nous n’avons pas l’air conditionné. »
Le MLS : « J’ai eu l’opportunité de venir ici, puis Villa est venu. Je ne le suis pas trop. C’est un football très direct, très physique. Tout est égal. Il n’y a pas une grande différence. Ni en Asie, où je me suis rendu. Tout le monde se prépare et il y a des vidéos ».
Les joueurs écartés à Barcelone : « Jamais laissé de côté. Ce sont des joueurs de la première équipe. En fait, ils se sont entraînés avec nous avant la tournée. J’ai été très clair avec eux en mai. Ils sont également à la recherche de solutions. Nous essayons de les aider pour qu’ils puissent jouer. Ils savent que ça va être impossible ici. Ils doivent trouver une solution pour jouer. »
Un détour par le cruyffisme : « En général, l’idée est celle-là, mais avec des nuances. Nous faisons des choses différentes en stratégie, en défense, car le football a changé au fil des années ».
Márquez : « C’est un ami et une légende du football mondial. Je lui prédis un avenir extraordinaire en tant qu’entraîneur. C’est un très bon ami et nous allons très bien nous comprendre, comme nous nous sommes compris sur le terrain ».
“Cela ne varie pas trop. Nous ne pouvons pas faire le travail de terrain le matin, mais nous le prolongeons l’après-midi. Nous n’avons pas cessé de nous entraîner à cause de la chaleur. Nous disposons également d’un renforcement vidéo individuel et collectif ».
Pablo Torre : « Il sera dans la dynamique de l’équipe première. Il a du talent. Il joue facilement et rapidement. Il s’associe très bien. Il a une chance. Il sera dans la dynamique de l’équipe première, mais s’il ne peut pas jouer ou être sur le banc, il pourra jouer avec l’équipe réserve. Il nous surprend tous par la façon dont il s’adapte, dont il comprend ».
Koundé : « Je suis désolé parce que je ne peux pas faire de progrès. L’équipe travaille encore à se renforcer. Je vois comment nous nous entraînons, l’intensité et c’est très bien ».
