Zidane : « Je ne pense même pas à l’Europa League, je n’envisage rien d’autre qu’une qualification »

Le Real Madrid sera sur scène demain pour le match le plus important de cette année pour le club. Car, seule une victoire peut permettre au club de poursuivre son aventure en Ligue des Champions sans faire de calcul. C’est donc à juste titre que Zidane a passé en revue les scénarii possibles, tout en restant bien décidé pour la victoire.

En effet, en conférence de presse, Zidane a d’ord évoqué le match de demain : « C’est un match différent, car on connaît la situation. On veut prendre les trois points et terminer premier du groupe. On ne pense qu’à ça. Tous les matchs sont importants, mais c’est la bonne attitude à avoir. Je ne veux pas entrer dans les jugements. Je ne pense pas à ces choses-là, je ne pense qu’à passer en huitième. On se prépare pour faire un grand match. Je suis positif et nous ne pensons vraiment qu’à la victoire. »

Ensuite le Français s’est prononcé sur un possiblement renversement vers L’Europa League et son possible départ en cas d’élimination de l’Europe : « Je n’y pense pas, je n’envisage rien d’autre qu’une qualification. Les joueurs aussi. Vous pouvez penser autrement, c’est votre travail. De notre côté, on ne pense qu’à réussir un grand match. Et en cas d’élimination ? : Le club fera ce qu’il a à faire, comme toujours. Moi je ne pense qu’au match de demain. Le plus important, c’est le présent et le futur. C’est un match pour montrer que nous avons du caractère et je suis convaincu que nous allons bien faire les choses. »

Il s’est aussi penché sur la gestion des émotions de son effectif et de son adversaire : « Tous les joueurs et le club sont habitués à jouer sous pression. Ils sont habitués à ces matchs-là. On sait comment les jouer. Il faut gérer les émotions et surtout bien nous préparer. Gladbach est une équipe qui défend bien et se projette bien en contre-attaque. Ils sont forts physiquement, à l’aise techniquement… Mais ce qui me préoccupe, c’est ce que nous allons faire. »

Mais il ne finit pas sans expliquer pourquoi le club est fort contre les forts et faible contre les faibles : « Je ne peux pas l’expliquer en une minute. On demande aux joueurs de jouer tous les trois jours. On joue toujours contre de bons adversaires. Beaucoup de facteurs influents… Vous parlez de Barcelone, Milan, Séville… mais on a perdu des matchs en jouant mieux que face à ces équipes. »