Bayern Munich : les 7 joueurs à l’origine du licenciement de Julian Nagelsmann révélés
Pep Guardiola est désiré par tout le monde pour son sens du jeu incroyable. Et si l’Espagnol apporte toujours un plus à ses équipes, c’est parce qu’il sait lire entre les lignes, ce qu’il a fait jeudi dernier face à Chelsea. Mieux, il n’a pas attendu pour s’autoproclamer un génie, vu que ce sont ces changements qui ont donné la victoire à son équipe, ce qui est d’ailleurs normal puisque c’est son job.
Changements : « Je suis un génie. Lors de la dernière conférence de presse, c’était Jamie Jackson (journaliste du Guardian), mon ami, et il m’a demandé pourquoi vous aviez effectué un remplacement après 87 minutes contre Everton. J’ai pris des notes, j’y ai réfléchi à la mi-temps et je l’ai changé ? Chaque manager essaie d’obtenir des remplaçants pour améliorer l’équipe. Parfois, vous voyez une équipe qui perd, mais qui joue bien, pourquoi allons-nous changer si j’ai le sentiment que nous faisons bien, pourquoi allons-nous faire cela ? « .
Première mi-temps : « Aujourd’hui, après 20 minutes, je me rends compte que je n’aime pas ce que je vois. Pourquoi devons-nous attendre ? À ce moment-là, j’ai parlé à Rodo et Enzo, et je leur ai dit que nous devions bouger quelque chose, changer quelque chose, sinon ce sera plus difficile. Je voulais faire entrer Riyad [Mahrez] en première période contre Chelsea. J’ai eu beaucoup de peine pour Joao [Cancelo], car il a eu des problèmes à un poste qui n’est pas le sien. Tout le monde l’a vu, dès la première minute de la deuxième mi-temps, c’était un Man City complètement différent, un autre rythme, un autre jeu, et notre récupération avec tout le monde à son poste. »
Se battre pour le titre de champion : « J’ai dit aux joueurs que nous avons encore 63 points à jouer, c’est beaucoup. Mais nous devons continuer à nous prouver que c’est normal d’être dans cette position, avec quatre titres de Premier League en cinq ans. Nous devons gérer dans notre mentalité que tout le monde pense qu’en novembre nous sommes déjà champions. C’est impossible. Les autres équipes n’ont pas cette pression. »
Motivation : « Après quatre Premier League en cinq ans, ce n’est pas facile de leur mettre à nouveau la pression. C’est pourquoi je suis heureux qu’après ce qui s’est passé ces dernières années, nous soyons là. Nous aurions préféré être plus près, mais vu la façon dont Arsenal a joué jusqu’à présent, ils méritent d’être là. »
Rico Lewis : « Ce garçon a la capacité et la qualité pour non seulement bien jouer, mais aussi pour rendre ses coéquipiers meilleurs. C’est très difficile à trouver. Quand il est entré, Rodri (Hernandez) a mieux joué, Kevin (De Bruyne) a mieux joué, Riyad (Mahrez) a mieux joué. Il a le talent pour le faire. Depuis que nous sommes revenus, il joue. Et en ce moment, il est fondamental pour nous. Il est un joueur clé pour nous, pour la façon dont nous jouons maintenant. Il a changé le jeu avec sa dynamique dès la première minute ».
John Stones : « Il a joué une Coupe du monde extraordinaire. Il a parfaitement supporté la montée en puissance. Il joue à son meilleur niveau depuis que nous sommes arrivés ensemble à Manchester City. Quand sa tête est stable et qu’il est de bonne humeur, il est génial. »
